Par: Jean-Christophe de Le Rue le 11 janvier, 2022
Jean-Christophe de Le Rue

Une étude réalisée conjointement par Dialogue et Environics Research révèle quelle est la position des personnes au Canada en matière de soins de santé, d’avantages sociaux et de soins virtuels.

 

MONTRÉAL, Québec, 11 janvier 2022 – Une nouvelle étude révèle qu’au Canada en 2022, les gens prévoient tirer parti de leurs avantages sociaux pour reprendre le contrôle de leur santé physique et mentale. Selon le deuxième rapport annuel sur la position des Canadiens et des Canadiennes en matière de santé et de soins virtuels, 82 % des personnes s’engagent à prendre mieux soin d’elles-mêmes, et 39 % prévoient d’utiliser leurs avantages sociaux pour les aider à traduire en actions leur nouvelle conscience en ce qui concerne leur santé et leur bien-être.

Cette initiative de recherche conjointe a été menée par Dialogue Technologies de la Santé inc. (TSX: CARE) (« Dialogue »), la principale plateforme de soins virtuels de santé et de bien-être au Canada, et Environics Research, une société d’études de marché fournissant des solutions fondées sur des données probantes à des problèmes commerciaux réels, afin d’évaluer la position des Canadiens et des Canadiennes en matière de soins virtuels et de systèmes de santé publics du pays.

La recherche a démontré que 56 % des personnes au Canada sont plus conscientes, maintenant qu’avant, de leur santé en raison de la pandémie. De plus, 25 % des Canadiens et des Canadiennes ont indiqué que la pandémie a aggravé leur état de santé général, tandis que près de la moitié (45 %) ont déclaré que leurs problèmes de santé mentale, comme le stress et l’anxiété, se sont aggravés en raison de la pandémie.

À mesure que la population du Canada cherche à s’engager plus fermement en faveur de sa santé et de son bien-être, 50 % des répondant(e)s ont déclaré que la pandémie avait rendu plus difficile l’accès à des soins de santé de qualité. La COVID-19 crée une pression supplémentaire sur les systèmes de santé publics et 25 % des personnes au Canada ont affirmé qu’il faut généralement de quatre à sept jours pour consulter un(e) professionnel(le) de la santé pour un problème de santé mineur, alors que 23 % ont plutôt déclaré que cela peut prendre plus d’une semaine. Au total, 52 % des personnes préoccupées par leur santé mentale affirment qu’elles devraient pouvoir obtenir le jour même les soins dont elles ont besoin. En réalité, 39 % d’entre elles ayant besoin de soutien en matière de santé mentale ont dû attendre huit jours ou plus avant d’obtenir le soutien nécessaire. 

« Nous devons tirer parti de cet engagement collectif envers la santé et le bien-être en offrant aux Canadiens et aux Canadiennes un accès plus facile et plus pratique à des soins de qualité », a déclaré le Dr Marc Robin, directeur médical de Dialogue. « L’utilisation de plateformes de soins virtuels en ligne comme Dialogue offre un soutien multidisciplinaire immédiat et permet aux gens d’être plus proactifs en ce qui concerne leur santé physique et mentale. »

Les avantages sociaux ont été reconnus comme étant un facteur clé pour les Canadiens et les Canadiennes qui s’efforcent de se remettre sur la bonne voie en ce qui concerne leurs objectifs de santé physique et mentale. Cependant, bien des gens ne savent toujours pas quels sont les avantages auxquels ils ont accès, comment y accéder ou s’ils répondent adéquatement à leurs besoins en matière de soins de santé. Selon l’étude, 26 % des répondant(e)s ne savent pas comment accéder à leurs avantages sociaux pour employé(e)s. De plus, 24 % des personnes au Canada bénéficiant d’un régime d’avantages sociaux ont indiqué que le soutien en matière de santé mentale offert par leur régime n’est pas suffisant, tandis que 17 % ont indiqué qu’elles ne sont même pas au courant des ressources en santé mentale offertes par leur régime d’avantages sociaux.

Les plateformes de soins virtuels comme Dialogue permettent aux employeurs de s’assurer plus facilement que leurs employé(e)s ont entre autres un accès simplifié à des prestations de soins de santé de qualité. En tout, 82 % des travailleurs et des travailleuses au Canada conviennent que les employeurs devraient offrir des services de soins virtuels à leurs employé(e)s, et environ 70 % affirment que les soins virtuels peuvent leur permettre d’agir de manière plus proactive en ce qui concerne leur santé physique et mentale, ainsi que celle de leur famille.

« L’étude démontre qu’au Canada, les gens estiment que les soins virtuels ne sont pas une tendance ou un besoin lié à une pandémie, et qu’ils voient plutôt les avantages à long terme que les soins virtuels peuvent leur offrir, à eux et à leur famille, en matière de santé et de productivité, ainsi que les avantages qu’ils offrent aux employeurs, en réduisant l’absentéisme et en maintenant la productivité de la main-d’œuvre », a déclaré Ahsan Sadiq, directeur, Market Insights chez Environics.

Les personnes au Canada demeurent optimistes quant à la façon dont les soins virtuels peuvent contribuer à améliorer leur santé et leur bien-être, puisqu’environ 70 % d’entre elles conviennent que « les soins virtuels représentent l’avenir des soins de santé » et que 60 % ont confirmé qu’elles se tourneraient probablement vers les soins virtuels s’ils étaient offerts par leur régime d’avantages sociaux. Pour les employeurs, cela peut avoir une incidence positive sur l’absentéisme et la productivité au travail, puisque 81 % des Canadiens et des Canadiennes conviennent que les soins virtuels peuvent les aider à éviter de manquer le travail (ou l’école).

 

À propos du rapport sur la position des Canadiens et des Canadiennes en matière de santé et de soins virtuels

Cette enquête annuelle menée à l’échelle du Canada a été réalisée pour évaluer la position des Canadiens et des Canadiennes en matière de soins virtuels et de systèmes de santé publics au pays. La recherche a été parrainée par Dialogue; toutefois, le commanditaire de celle-ci n’a pas été communiqué aux répondant(e)s, ce qui garantit une collecte de données impartiale. 

Le sondage 2021 a été rempli par 1 760 personnes au Canada représentant tous les groupes d’âge et toutes les provinces (sauf le Nunavut, les Territoires du Nord-Ouest et le Yukon) du 8 et au 22 septembre 2021. 

Il s’agit de la deuxième enquête de recherche consécutive. Celle-ci a été menée dans le but de mesurer la variation dans la position des Canadiens et des Canadiennes au cours de l’année écoulée, tout en comprenant l’évolution du paysage de la santé au Canada.

 

À propos de Dialogue Technologies de la Santé inc.

Incorporée en 2016, Dialogue est la première plateforme de soins de santé et de bien-être virtuels au Canada, offrant un accès abordable et à la demande à des soins de qualité. Grâce à notre équipe de professionnel(le)s de la santé, nous servons les employeurs et les organisations qui ont un intérêt dans la santé et le bien-être de leurs employé(e)s, de leurs membres et de leurs familles. Notre Plateforme de santé intégréeMC est un centre de soins de santé unique qui centralise tous nos programmes dans une seule application conviviale, offrant un accès aux services 24 heures sur 24, 365 jours par année, grâce à un téléphone intelligent, un ordinateur ou une tablette.

 

À propos d’Environics Research

Environics Research est une société canadienne d’études de marché qui fournit aux organisations des solutions concrètes, fondées sur des preuves, à de réels problèmes commerciaux. Environics Research s’associe à ses clients afin de comprendre les défis auxquels ils sont confrontés et de tirer parti de solutions novatrices et créatives pour générer une compréhension et des perspectives. Fondée en 1970, Environics Research fournit des solutions fondées sur des données probantes à des clients œuvrant dans un éventail de secteurs et d’industries.

Thèmes: Pour les organisations

À propos de l’auteur(-trice)

Jean-Christophe est le directeur des relations publiques et gouvernementales de Dialogue. Avant de se joindre à l’équipe, il était en relations publiques chez Uber. Son implication politique l’a aussi amené à occuper le rôle de directeur des communications au cabinet du ministre fédéral de la Sécurité publique et de la Protection civile. Jean-Christophe est diplômé en administration des affaires et en sciences politiques à l’Université d’Ottawa.